Archives de catégorie : MS/GS

Tangram par Christine

Manipuler les pièces

Un brevet autour du tangram, facile à construire !

  • Niveau 1 : Tangrams avec contours.
  • Niveau 2 : Tangrams sans contour intérieur.

tangram

Les planches de tangram présentent les mêmes figures recto-verso, avec
d’un côté,  les contours des pièces et de l’autre le seul contour de
l’ensemble.
Le niveau 2 n’est pas facilement accessible.
Lorsque les enfants n’y parviennent pas, ils retournent la planche et effectuent le niveau 1 grâce aux contours de chaque pièce. Ils cherchent alors à mémoriser l’emplacement des formes avant de retourner la planche pour réaliser  le niveau 2, sans les contours.

Il s’agit d’un atelier échelonné où l’enfant ne peut avoir accès qu’à un niveau à la fois.  Ce dispositif pédagogique permet une « mise en mémoire » du tangram, une « mise en pensée » de l’espace, pour réussir. 

 

tangram2Par ailleurs, le brevet reprend les noms figurant sur les planche de jeux : Le chat, Le chinois… Pas de photographies ou dessins à insérer  dans le brevet !
Sa validation demande tout de même des compétences de lecteurs accessibles aux GS : l’enfant doit associer le nom figurant sur sa planche de tangram  à celui du brevet pour valider une réussite.

 

Capture d’écran 2013-07-22 à 16.42.32

Notre brevet tangram

Un brevet à compléter

GStangram0

Jouer sur tablette

En prolongement de l’atelier Tangram, avec de véritables pièces.
Capture d’écran 2013-07-20 à 19.04.46tangram2

Pourquoi un prolongement numérique ?

Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…

Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.

Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction. 

La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce tangram… »)

Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.

Go getter par Christine

Manipuler le casse-tête

Capture_d_ecran_2013-03-20_a_16.06.26Brevet gogetter

Jouer sur tablette

Capture d’écran 2013-07-08 à 23.31.27

bonchemin

Pourquoi un prolongement numérique ?

Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…

Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.

Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction. 

La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)

Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.

Rush hour par Christine

Manipuler les pièces du casse-tête

Une particularité dans la validation de ce brevet : les enfants travaillent en autonomie et notent dans le tableau de réussites collectif le niveau qu’ils pensent avoir atteint.


Pour valider ce niveau sur le brevet individuel, l’enseignant demande à l’enfant de refaire sous ses yeux une carte de la série. En fin d’atelier par exemple.
Cela rend l’atelier vraiment autonome : pas de validation au compte-gouttes à gérer. L’enseignant peut faire autre chose.
Cela oblige les enfants à mémoriser la solution d’un problème et leur permet d’avancer dans l’abstraction.

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Brevet roushourjunior

Jouer sur tablette

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Brevet helpout

Application Helphout

Pourquoi un prolongement numérique ?

Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…

Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.

Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction. 

La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)

Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.