Un livre à compter simple, que l’on peut aussi réaliser sans tablette.
Continuer la lecture de Tout en images : Livre (numérique) à compter
Un livre à compter simple, que l’on peut aussi réaliser sans tablette.
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Un message de Céline réjouissant ! Merci 😉 Continuer la lecture de Dans la classe de Céline
Un atelier de transvasement pour approcher la mesure en maternelle (mais pas seulement…) Continuer la lecture de Transvasements
« Il était une fois… » Le petit chaperon rouge raconté aux grandes sections : c’est toujours un moment d’extrême attention, d’effroi et de soulagement. L’application « lil red » fait durer le plaisir. Continuer la lecture de Le petit chaperon rouge : du numérique aux marionnettes
Créer un livre numérique avec la tablette : rien de plus facile ! Consolider les apprentissages avec le numérique devient aussi accessible. (Nouveauté en fin d’article.)
Continuer la lecture de Créer un ebook et travailler le langage oral
Dans notre classe, c’est devenu un rituel qui nous accompagne tout au long de l’année.
Avec une feuille de papier, nous construisons des petits livres.
Continuer la lecture de Va-t’en, grand monstre vert par Mélanie et Christine
Voilà où conduisent parfois les échangent sur Twitter !
De gazouillis en gazouillis, Lucie (@LucieGillet) a bien voulu partager sa réflexion sur l’entrée dans l’écrit en maternelle : elle met ici en lien pratiques pédagogiques, recherche et numérique. Continuer la lecture de Entrée dans l’écrit et numérique par Lucie
Une comptine à compter, calculer…
Tout nouveau tout frais : un ebook pour Ipad fait par Céline. Merci -)
Continuer la lecture de Cinq petits glands par Christine
Emmanuel partage ici l’organisation qu’il met en place dans sa classe à niveaux multiples (TPS PS MS et GS) . Chouette ! Continuer la lecture de Dans la classe d’Emmanuel
Sandrine partage ici son expérience, les pistes qu’elle a empruntées avec ses petits de 2, 3 ans.
Nous voilà un peu plus riche ! Merci 😉 Continuer la lecture de Dans la classe de TPS/PS de Sandrine
Avec la tablette et l’excellente application Dictée Montessori, chaque enfant utilise les aides dont il a besoin pour encoder (ou recopier) des mots contenant des phonèmes simples.
Trois niveaux de difficultés sont « naturellement » accessibles à mes élèves de grande section. Ils les utilisent en fonction de leurs compétences. (Cf Atelier échelonné)
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Une image s’affiche sur l’écran (une vis). L’enfant cherche comment l’écrire. Dans cette vidéo, l’élève utilise l’aide pour chaque lettre du mot.
Il s’agit ici d’un simple exercice de discrimination visuelle.
Après plusieurs réussites à ce niveau, cet enfant cherche à faire « plus difficile » en recopiant des mots en cursive… Notre organisation de classe un peu spécifique produit ses effets 😉
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Mais en même temps qu’il recopie le mot « col », il s’impregne du son courant des lettres. En effet, à chaque fois qu’il en déplace une, le son est prononcé (option à sélectionner dans les réglages de l’application).
L’air de rien, il acquiert de nouveaux outils pour lire.
Après avoir pris de l’assurance et en regardant faire sa camarade d’à côté, il passera plus tard au niveau 2. Les élèves travaillent à deux sur une tablette, chacun travaille le temps d’un sablier (5minutes) et passe à son voisin.
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L’application énonce le son à chercher à chaque fois qu’on touche une case. Le mot est ainsi décomposé en phonèmes par la tablette. L’enfant l’écoute et sélectionne la lettre correspondante.
Le niveau d’analyse phonémique de cette élève ne lui permet pas encore d’encoder directement le mot, mais le numérique lui donne l’occasion d’exploiter et d’affiner sa connaissance des sons des lettres. Ce qui n’est déjà pas mal pour une grande section !
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Les élèves qui s’y sentent prêts encodent sans aucune aide les mots.
Redire ici combien les enfants ont envie d’apprendre, de progresser, si on leur en donne les moyens et si l’Éducation nationale nous le permet, notamment en ne parquant pas autant d’enfants dans les classes…
Pas sûr que des élèves entendent le son de la tablette à 30 bambins !
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À propos d’envie de progresser, dans cette dernière vidéo, l’apprenti lecteur « gronde » son voisin qui a ouvert l’aide sans qu’elle le souhaite alors qu’elle cherchait la graphie du « l » en cursive. « Laisse moi faire seule » semble dire cette petite fille, ce qui n’aurait pas déplu à Maria Montessori 😉
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Chaque enfant a noté ses réussites sur un brevet :
Lors d’une seconde séance, certains termineront leur travail tandis que ceux qui ont déjà « tout fait » reprendront leur brevet et s’entraineront à écrire sans aucune aide les mots (en cursive s’ils le peuvent). Difficile de leur proposer la deuxième série de mots de l’application : les difficultés sont trop éloignées de leurs compétences. Ce sera pour le CP.
Enfin, à regarder faire les enfants, on mesure leur enthousiasme et la richesse du numérique : avec le multimédia et l’interactivité, la dictée muette de Montessori démultiplient sur la tablette les apprentissages. Si les élèves ont commencé à apprendre à lire avec l’enseignant, l’application les propulse chacun un peu plus loin.
Et de façon autonome : pendant ce temps là, je peux m’occuper des petits et moyens de ma classe unique maternelle.
Seul petit bémol de cette application : la graphie du f en cursive est erronée.
À noter : Cet atelier fait partie d’un plan de travail présenté sur cet article.
« Apprendre à porter secours » fait partie de nos missions.
La tablette peut nous faciliter la tache…
Pour une première approche, nous avons utilisé Kitchen Monster de Poca Boca, une petite application gratuite qui plait beaucoup.
Il s’agit de préparer à manger aux monstres et de les nourrir… Ils réagissent parfois « monstrueusement » en fonction du menu, au grand plaisir des joueurs.
L’enfant peut couper, mouliner, faire cuire, ébouillanter… Bref effectuer des actions où il y a beaucoup à dire !
À partir de copies d’écran du jeu, nous avons échangé sur les dangers de la cuisine, appris à reconnaitre les risques de cet environnement familier (Voir la grille de compétences.)
Ils jouent à deux sur une tablette, avec un sablier de 3 minutes qu’ils retournent à chaque changement de joueur.
Nous avons exploré l’application « Pas d’accident dans ma maison » de manière collective, avec les MS/GS en branchant la tablette sur un vidéo projecteur.
Pour chaque objet d’une pièce de la maison, l’enfant doit indiquer si :
– Il est interdit d’y toucher (feu rouge)
– Il peut l’utiliser en faisant attention (feu orange)
– Il peut l’utiliser sans risque (feu vert)
Après plusieurs séquences d’échanges (pourquoi dis-tu que c’est interdit ?), ils ont travaillé en autonomie par deux sur la tablette.
Dans la deuxième partie du jeu, les objets sont présentés dans leur milieu et l’enfant doit indiquer à nouveau le degré de dangerosité.
Le retour des parents confirme l’impact : Quand ma fille descend les escaliers, elle me dit « Attention Maman, c’est orange, faut faire attention ! ».
Cette fiche a été renseignée par les enfants. Certains l’ont réalisée en deux fois, tous l’ont réussie.
Dans l’école, les environs, photographier, classer les objets ou lieux dangereux, ceux qui sont interdits, ceux pour lesquels il faut faire attention.
Un pliage astucieux, un coup de ciseaux, voilà un petit livre à partir d’une feuille de papier :
Ce format m’a donné envie d’en créer, d’en faire créer par les enfants.
Un support d’apprentissages motivant.
Un joli morceau de toile proposé par cette association où l’on retrouve autour des petits livres :
des vidéos,
des publications d’enfants, d’adultes,
des fichiers vierges sous tous les formats,
un espace de publication…
Merci 😉
Avec L’Ecriveron, une application crée par Philippe Tassel, un texte (sans image) est automatiquement mis en page sur une feuille, prêt à être plié.
Plus difficile à utiliser en maternelle, mais une bonne adresse à garder.
(On peut même faire de minis livres A6 pour, au quotidien, déclarer sa flamme ou la liste de courses à prendre 😉 )
@ suivre ici.
L’enfant dessine sur la page blanche du petit livre, avec des feutres fins, sans colorier.
L’enseignant repère des graphismes spontanément tracés dans les dessins et les reproduit dans la page de droite, en les compliquant un peu (combinaison de plusieurs graphismes, orientation, régularité…) On peut utiliser toutes les rangées ou une rangée sur deux pour les moins performants.
Lorsqu’ils sont terminés, les petits livres de graphisme sont collectés et mutualisés : l’ensemble constitue un répertoire commun pour d’autres travaux de graphisme.
Cette appropriation des idées, tracés des uns et des autres fait évoluer les élèves.
Quelques temps plus tard, forts de cet enrichissement, nous pouvons construire de nouveaux petits livres de graphisme.
Nous sommes parti de cet album pour créer notre petit livre. Continuer la lecture de Ma drôle de famille par Christine