Lapinou déménage
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Archives de catégorie : Casse-tête
Les bahuts malins
Réfléchir, imaginer avec les mécanos
L’article sur le blog :
Jeu des maisons – Topologie
A partir du « Jeu des maisons » des Éditions du grand cerf.
Katamino par Christine
Jouer avec le casse-tête Katamino
Brevet pentamino1
Les documents sont à télécharger sur l’excellent « CHD blog d’une enseignante »
Prolongements
Jeu de societé :
Placer chacun son tour une forme qui touche la précédente.
Celui qui ne peut plus en placer perd.
Fiche katamino
Une séquence de cette vidéo montre les enfants en recherche sur cette fiche assez difficile qui permet de travailler la quantité 5 et sa représentation dans l’espace.
Jouer sur tablette
Avec l’application « PentaGénious » pour Ipad, avancer vers plus d’abstraction 
Brevet kataminotablette
Pourquoi un prolongement numérique ?
Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…
Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.
Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction.
La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)
Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.
Go getter par Christine
Manipuler le casse-tête
Brevet gogetter
Jouer sur tablette
Pourquoi un prolongement numérique ?
Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…
Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.
Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction.
La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)
Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.
Cache-cache safari par Christine
Rush hour par Christine
Manipuler les pièces du casse-tête
Une particularité dans la validation de ce brevet : les enfants travaillent en autonomie et notent dans le tableau de réussites collectif le niveau qu’ils pensent avoir atteint.
Pour valider ce niveau sur le brevet individuel, l’enseignant demande à l’enfant de refaire sous ses yeux une carte de la série. En fin d’atelier par exemple.
Cela rend l’atelier vraiment autonome : pas de validation au compte-gouttes à gérer. L’enseignant peut faire autre chose.
Cela oblige les enfants à mémoriser la solution d’un problème et leur permet d’avancer dans l’abstraction.
Brevet roushourjunior
Jouer sur tablette
Brevet helpout
Application Helphout
Pourquoi un prolongement numérique ?
Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…
Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.
Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction.
La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)
Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.
