Les fiches sont glissées sous des pochettes transparentes pour être utilisées avec des feutres effaçables.
Brevet écriture 123
Breveet ecriture 456
Un brevet qui s’inspire des propositions de Dominique Valentin dans « Découvrir le monde ».
[KGVID]http://maternailes.net/brevet2/wp-content/uploads/2013/07/Oeufs.mov[/KGVID]
Un brevet autour du tangram, facile à construire !
Les planches de tangram présentent les mêmes figures recto-verso, avec
d’un côté, les contours des pièces et de l’autre le seul contour de
l’ensemble.
Le niveau 2 n’est pas facilement accessible.
Lorsque les enfants n’y parviennent pas, ils retournent la planche et effectuent le niveau 1 grâce aux contours de chaque pièce. Ils cherchent alors à mémoriser l’emplacement des formes avant de retourner la planche pour réaliser le niveau 2, sans les contours.
Il s’agit d’un atelier échelonné où l’enfant ne peut avoir accès qu’à un niveau à la fois. Ce dispositif pédagogique permet une « mise en mémoire » du tangram, une « mise en pensée » de l’espace, pour réussir.
Par ailleurs, le brevet reprend les noms figurant sur les planche de jeux : Le chat, Le chinois… Pas de photographies ou dessins à insérer dans le brevet !
Sa validation demande tout de même des compétences de lecteurs accessibles aux GS : l’enfant doit associer le nom figurant sur sa planche de tangram à celui du brevet pour valider une réussite.
Notre brevet tangram
Un brevet à compléter
En prolongement de l’atelier Tangram, avec de véritables pièces.
tangram2
Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…
Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.
Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction.
La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce tangram… »)
Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.
Atelier 1 : Découverte (PS/MS)
Les enfants explorent librement le matériel.
Au moment du rangement, ils reconstitue une boite en identifiant le matériel sur une photographie.
C’est l’occasion d’assembler dans le bon sens, d’essayer de nommer les différents aliments et outils du jeu, de faire preuve de méthodologie pour être sûr que tout y est.
( Bon, là ce n’est pas évident de les nommer parce qu’ils ne sont pas ressemblants, la carotte est trop rouge… Les petits aléas des achats en brocante !
Mais il en existe d’autres, plus réalistes chez Vilac notamment)
Si les enfants ont exercé leur motricité fine et leur sociabilité durant l’atelier (ne pas prendre la tomate du voisin…), le temps du rangement comporte aussi un potentiel d’apprentissages.
Atelier 2 : La préparation des plateaux (PS/MS/GS)
Niveau 1 : Repérer 2 objets sur une ligne.
Niveau 2 : Repérer 3 objets sur une ligne.
Niveau 3 : Repérer des objets dans l’espace d’une page
Atelier 3 : La commande de plateaux (MS/GS)
Brevet cuisine
Avec la boite « Abaques 2 » de chez Nathan, des stratégies parfois singulières…
Brevet abaquestableau
Un brevet inspiré des ouvrages de Mme Valentin « Découvrir le monde ».
bouchon
Documents associés
Le jeu de cartes :
Fiche pour construire son propre jeu
Tableau de réussite collier couleur
Prolongement en GS :
Fabriquer un collier avec des couleurs qui se répètent puis le coder.
Réaliser celui d’un copain.
Brevet perles2
Prolongement en grande section :
Fabriquer un collier avec des motifs qui se répètent puis le dessiner.
Réaliser celui d’un copain.
Avant de travailler sur ces brevets, les élèves explorent librement ce matériel au sein d’un atelier autonome. Ils utilisent la première série de planches.
Brevet gogetter
Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…
Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.
Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction.
La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)
Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.