Rush hour par Christine

Manipuler les pièces du casse-tête

Une particularité dans la validation de ce brevet : les enfants travaillent en autonomie et notent dans le tableau de réussites collectif le niveau qu’ils pensent avoir atteint.


Pour valider ce niveau sur le brevet individuel, l’enseignant demande à l’enfant de refaire sous ses yeux une carte de la série. En fin d’atelier par exemple.
Cela rend l’atelier vraiment autonome : pas de validation au compte-gouttes à gérer. L’enseignant peut faire autre chose.
Cela oblige les enfants à mémoriser la solution d’un problème et leur permet d’avancer dans l’abstraction.

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Brevet roushourjunior

Jouer sur tablette

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Brevet helpout

Application Helphout

Pourquoi un prolongement numérique ?

Inutile de parler de l’attractivité de la tablette et de l’intense enrôlement qu’elle entraine chez les petits (et grands ;-))…

Ce changement de support relance leur intérêt et leur permet d’aller plus loin, sur une activité qui leur est familière.

Les enfants y travaillent sur un support plus abstrait : on est dans la représentation. Mais l’ancrage dans le réel des premières séances permet à tous de s’approprier cette abstraction. 

La diversité des niveaux et activités proposés est plus importante que ce que l’on pourrait réaliser, avec du matériel« en vrai » .
Elle répond bien à la diversité de nos élèves. Les parcours sont individualisés : chacun peut travailler à sa vitesse, aller jusqu’où il peut, en utilisant ou non l’aide. Chaque enfant détermine ses défis à relever dans un cadre fixé par l’enseignant. Cet espace d’auto-détermination donne de meilleur résultats que le travail sous la contrainte (« Fais ce casse-tête… »)

Enfin, et ce n’est pas anodin, les élèves y travaillent par deux, de façon autonome. Pendant ce temps là, je peux enseigner autre chose.

 

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